Cmaj7 Cmaj7 D D
Bm7 Bm7 Am7 Am7
Cmaj7 Cmaj7 D D
Em Em Em Em
D’avoir passé des nuits blanches à rêver
Ce que les contes de fées
Vous laissent imaginer
D’avoir perdu son enfance dans la rue
Des illusions déçues, passer inaperçu
D’être tombé plus bas que la poussière
Et à la terre entière,
En vouloir puis se taire
D’avoir laissé jusqu’à sa dignité
Sans plus rien demander
Qu’on vienne vous achever
Et un jour, une femme
Dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules
Comme elle porte le monde
Et jusqu’à bout de force
Recouvre de son écorce,
Vos plaies les plus profondes
Em Em
Puis un jour, une femme
Met sa main dans la vôtre
Pour vous parler d’un autre
Parce qu’elle porte le monde
Et jusqu’au bout d’elle même
Vous prouve qu’elle vous aime
Par l’amour qu’elle inonde
Em Em
Jour après jour vous redonne confiance
De toute sa patience vous remet debout
R’trouver en soi, un avenir peut-être
Et surtout l’envie d’être,
Ce qu’elle attend de vous
Et un jour, une femme
Dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules
Comme elle porte le monde
Et jusqu’à bout de force
Recouvre de son écorce,
Vos plaies les plus profondes
Vos plaies les plus profondes
Et un jour cette femme,
Met sa main dans la vôtre
Pour vous parler d’un autre
Parce qu’elle porte le monde
Et jusqu’au bout d’elle même
Vous prouve qu’elle vous aime
Par l’amour qu’elle inonde
Par l’amour qu’elle inonde
Et un jour, cette femme,
Dont le regard vous touche
Porte jusqu’à sa bouche,
Le front d’un petit môme
Et jusqu’au bout de soi,
Lui donne tout ce qu’elle a
Chaque pas, chaque seconde,
Jusqu’au bout du monde
Jusqu’au bout du monde